Selon l’autopsie pratiquée sur le bébé, décédé dans des circonstances douteuses, lundi matin, c’est un œdème pulmonaire qui serait à l’origine de son décès.
Aucun lien jusqu’ici n’a pu être établi entre l’injection d’antibiotique et sa mort soudaine au service néo-natal de l’hôpital Candos.
Une analyse toxicologique est en cours pour déterminer ce qui a causé cette infection pulmonaire et si un lien peut être établi avec la piqûre administrée.
Selon la mère de l’enfant, inconsolable, son bébé d’une semaine se portait très bien et son état a brutalement changé dès qu’il a été injecté.
L’hôpital Victoria (Candos) a pris cette affaire très au sérieux et mène une enquête qui est suivi de près par le ministère de la santé.
Rappelons qu’une plainte a été déposée par la famille pour négligence médicale.
Aucun lien n’a pu être également établi entre un autre bébé qui se retrouve aussi dans un état grave aux soins intensifs même si sa famille insiste qu’une injection d’antibiotique lui a aussi été administrée.